Cette famille Bambara, originaire du Mali, habite un hameau isolé (Keur Moussa Diara Bougou), elle se compose d'environ 30 personnes et à ce jour n'a toujours pas d'accès direct à l'eau malgré des besoins importants pour la vie de la communauté et les besoins pour le cheptel.

L'association à financé les matériaux pour environ 200€, la main d'oeuvre du puisatier a été pris en charge par Mr Paquot, adhérent de l'association.

La profondeur du puits est de 6 m. 1 bassin de rétention et 1 abreuvoir complètent les travaux du puisatier, abreuvoir financé par la famille.

Cette réalisation évite des déplacements longs et pénibles pour subvenir aux besoins en eau de cette famille.

L'association a financé la rénovation d'une ancienne remise agricole en dortoir pour les techniciens du jardin de Kaydara.

Les travaux ont portés sur la refection des sols en carrelage et les peintures murales. Les matériaux ont été financés par l'association, les travaux effectués par les stagiaires de l'école.

Que serait une école sans livres? Pour faciliter l'accès aux livres, l'association a décidé de faire réaliser localement une étagère par les artisans locaux et d'en faire profiter l'école de Ndiedieng. Ainsi les enfants comme l'institueur pourront ranger et profiter pleinement des joies de la lecture. Une partie des livres ayant été fournis par l'association.

C'est l'histoire d'Ousmane, 40ans, une drôle d'histoire! Jumeau de Ousseynou, il nait avec un handicap. Pendant toutes ces années Ousmane vivra reclus, à l'écart de la société. Sa soeur le prenant complètement en charge, refusant même le mariage.

Nous avons rencontré Ousmane sur le marché de Nguéniène, il faisait la mendicité. Nous lui avons proposé de lui offrir le fauteuil roulant amené lors de notre venue en novembre. La semaine suivante, nous nous rendions au domicile familial pour lui remettre "le cadeau de sa vie".

Le petit village de Djillor est le village natal du Président Poète Léopold Sedhar Senghor, ce village situé au bord du fleuve a la particularité d'avoir une forte population catholique.

Les femmes de ce village, environ 50, se sont regroupées il y a quelques années en GIE (Groupement d'Intérêt Économique) et ont créé un jardin communautaire. C'est dans ce jardin que nous avons décidé cette année de construire un puits supplémentaire à l'existant pour permettre à d'autres mamans de s'installer, les autres points d'eau étant saturés.

Ces jardins permettent aux familles de subvenir à leurs besoins en légumes mais aussi d'apporter un revenu supplémentaire par la vente de leurs produits.